De l'émission "Spectacles Inter" du 22/03/1977.
Les amis de Georges / Nous avons le temps / Alexandrie / Bahia / Il est trop tard / Pourquoi mon dieu / Chanson-cri / Cantique / La philosophie / Donne du rhum à ton homme / Ye Ye Ye
J'ajoute ci-dessous les liens pour écouter et les paroles de trois chansons qui ne sont pas sur le blog
Ils ont la force et nous avons le temps
Le temps
Tout le temps
Ils ont l'écorce et nous avons le cœur
Le cœur
Le meilleur
Ils nous font des dicours et nous chantons
Nous chantons
Nos chansons
Ils planifient tandis que nous planons
Par-dessus
Leurs raisons
Ils font la loi et nous faisons l'amour
L'amour
Avec amour
Ils crient notre musique leur répond
Hm hm
Il ont la force et nous avons le temps
Nous avons tout le temps
Et même si ça doit durer longtemps
Nous avos tout le temps
...........
Oh! Toi qui sais, combien mon dieu
C'est fragile, un amour
Pourquoi l'avoir laissé mourir
Sans lui porter secours
C'était un fleuve, ivre de vie
Mais la source s'est tarie
Oh! mon dieu
Pourquoi mon dieu
Il n'y a plus que l'amertume
Dans mon cœur qui se consume
Oh! mon dieu
Pourquoi mon dieu
Qu'adviendra-t-il de moi mon dieu
Qu'adviendra-t-il de moi, de nous
On peut sourire, on peut souffrir
On peut mourir d'un souvenir
Pourquoi mon dieu
Pourquoi mon dieu
Oh! Toi qui sais, combien mon dieu
C'est fragile, un amour
Pourquoi l'avoir laissé brûler
Au soleil de mes jours
Il n'y a plus que son ombre
Portant le chagrin du monde
Oh! mon dieu
Pourquoi mon dieu
Je n'ose même plus attendre
Qu'il renaisse de ses cendres
Oh! mon dieu
Pourquoi mon dieu
Qu'adviendra-t-il de moi mon dieu
Qu'adviendra-t-il de moi, de nous
On peut sourire, on peut souffrir
On peut mourir d'un souvenir
Pourquoi mon dieu
Pourquoi mon dieu
Pourquoi mon dieu ...
........
8. Cantique
Je veux sur un air de cantique
Écrire la plus impudique
De toutes mes chansons d'amour
Pour toi qui me permets de faire
Les plus jolis péchés de chair
Et d'y refaire chaque jour
Dans le jardin de nos délices
Où se marie ma fleur de lys
Avec ta rose de velours
Il y a tant et tant de mystères
Qu'il nous faudrait la vie entière
Pour pouvoir en faire le tour
Je vais parler sans innocence
De cette fête qui commence
Sans hâte mais sans retenue
Par un mot un regard complice
Le bruit de ta robe qui glisse
Et qui le laisse toute nue
Puis c'est toi qui me déshabille
Avec des gestes très subtils
D'une impatience contenue
Et nos deux corps se reconnaissent
Avec les premières caresses
Familières et imprévues
Je laisse aller mes doigts ma bouche
Le long de toi jusqu'à la source
Où la peau semble de satin
Jusqu'à la source où je m'abreuve
Et où ma langue aventureuse
S'aventure encore plus loin
Tu t'ouvres mieux pour mieux t'offrir
Et ton souffle devient soupir
Et tes ongles griffent mes reins
Tandis que ta bouche m'explore
Comme pour découvrir mon corps
Qu'elle connaît pourtant si bien
Et lorsque enfin se réunissent
Nos lèvres nos ventres et nos cuisses
Lorsque nos sexes confondus
Rappellent la même jouissance
Au rythme de la même danse
Que nous dansons à corps perdus
Notre désir se réalise
Et le jardin de nos délices
Nous offre ses fruits défendus
Alors ma tendre partenaire
Mon si joli péché de chair
Sans avoir peur d'être entendu
J'ose te dire ... Je t'aime
....
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