À propos de cette chanson :
Ímaste dió est l'une des chansons écrites par Mikis Theodorakis pour un membre éminent de la gauche grecque, Andreas Lentakis (1935-1997), vers la fin des années 1960. À l'époque de la dictature militaire qui a sévi en Grèce pendant sept ans, cette chanson, dont le thème était la torture et l'isolement d'un détenu politique en prison, est devenue un cri de ralliement majeur des groupes politiques de gauche grecs. La chanson figure également dans une comédie de Thanasis Veggos sur les chansons interdites en Grèce à l'époque des généraux.
Il s'agit de l'un des poèmes de "Chansons pour Andréas" écrits en prison par Mikis Théodorakis . Moustaki a accompagné Théodorakis pour traduire ces chansons en langue française et c'est lui qui les a fait connaître en France .
Pour aller plus loin retrouvez dans le blog :
Paroles de la chanson "Nous sommes deux"
Nous sommes deux nous sommes deux
Huit heures vont bientôt sonner
Éteins la lampe le gardien frappe
Ce soir ils reviendront nous voir
L'un va devant l'un va devant
Et les autres suivent derrière
Puis le silence et puis voici
La même chanson qui revient
Ils frappent deux ils frappent trois
Ils frappent mille vingt et trois
Tu as mal toi et j'ai mal moi
Qui de nous deux a le plus mal
C'est l'avenir qui le dira
Nous sommes deux nous sommes trois
Nous sommes mille vingt et trois
Avec le temps avec la pluie
Avec le sang qui a séché
Et la douleur qui vit en nous
Qui nous transperce et qui nous cloue
Nous sommes deux nous sommes trois
Nous sommes mille vingt et trois
Avec le temps avec la pluie
Avec le sang qui a séché
Et la douleur qui vit en nous
Qui nous transperce et qui nous cloue
Notre douleur nous guidera
Nous sommes deux nous sommes trois
Nous sommes mille vingt et trois
/////////////////////////////////////
Nous sommes deux ( Texte du poème de Mikis Theodorakis )
Nous sommes deux, nous sommes deux, huit heures ont sonné
éteins la lampe les gardiens frappent, ils reviendront le soir
L’un va devant l’un va devant, les autres suivent
puis le silence et suit alors toujours le même refrain
Ils frappent deux, ils frappent trois, ils frappent mille et treize
tu as mal et moi j’ai mal, qui donc a le plus mal
le temps viendra qui nous le dira.
Nous sommes deux, nous sommes trois, nous sommes mille et treize,
nous chevauchons le temps
avec le temps avec la pluie, le sang se sèche dans les plaies
la douleur un clou perçant.
Justicier, sauveur
nous sommes deux, nous sommes trois, nous sommes mille et treize.
http://fr.mikis-theodorakis.net/
/////////////////////////////////////
Nous sommes deux ( Texte du poème de Mikis Theodorakis )
Nous sommes deux, nous sommes deux, huit heures ont sonné
éteins la lampe les gardiens frappent, ils reviendront le soir
L’un va devant l’un va devant, les autres suivent
puis le silence et suit alors toujours le même refrain
Ils frappent deux, ils frappent trois, ils frappent mille et treize
tu as mal et moi j’ai mal, qui donc a le plus mal
le temps viendra qui nous le dira.
Nous sommes deux, nous sommes trois, nous sommes mille et treize,
nous chevauchons le temps
avec le temps avec la pluie, le sang se sèche dans les plaies
la douleur un clou perçant.
Justicier, sauveur
nous sommes deux, nous sommes trois, nous sommes mille et treize.
http://fr.mikis-theodorakis.net/
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire